Sonates pour viole de gambe et clavecin de J.S Bach
Artiste:
Description:
Margaux BLANCHARD et Diego ARES revisitent les sonates pour viole de gambe et clavecin obligé de Jean-Sébastien BACH. Ils unissent leur expérience de soliste et de chambriste pour livrer une version renouvelée de cette oeuvre incontournable du répertoire. La richesse de la ligne de viole entremêlée aux deux voix du clavecin fait de ces pièces « en trio » une référence de cette écriture si représentative de la musique baroque.
L’emploi de la viole qui dialogue avec la main droite du clavecin permet d’explorer une nouvelle facette de l’instrument, plus mélodique qu’harmonique.
Durée:

Chapelle des Carmélites
1, rue du Périgord
La chapelle des Carmélites de Toulouse, dont la première pierre fut posée en 1622, est le seul vestige du couvent des Carmélites qui occupait l’emplacement sur lequel s’élève aujourd’hui la Bibliothèque d’Étude et du Patrimoine.
La conduite des travaux fut confiée à Didier Sansonnet qui en termina l’édification en 1643. Désaffectée lorsque les Carmélites en furent chassées par la Convention en 1791, la chapelle fut rendue au culte dès 1807 pour le grand Séminaire. À la suite de la séparation de l’Église et de l’État, elle devient propriété de l’État et fut attribuée à l’Université de Toulouse (1908) : elle abrita un temps un musée de moulages. Depuis 2007, la chapelle relève de la Ville de Toulouse.
La Chapelle est remarquable par son décor. C’est la seule partie qui a résisté à la Révolution. Les peintures murales sont réalisées par Jean-Pierre Rivalz au XVIIe siècle et par Jean-Baptiste Despax au XVIIIe siècle.

Les Ombres
Margaux BLANCHARD et Diego ARES revisitent les sonates pour viole de gambe et clavecin obligé de Jean-Sébastien BACH. Ils unissent leur expérience de soliste et de chambriste pour livrer une version renouvelée de cette oeuvre incontournable du répertoire. La richesse de la ligne de viole entremêlée aux deux voix du clavecin fait de ces pièces « en trio » une référence de cette écriture si représentative de la musique baroque.
L’emploi de la viole qui dialogue avec la main droite du clavecin permet d’explorer une nouvelle facette de l’instrument, plus mélodique qu’harmonique.